Devenir Gendarme du GIGN

Un gendarme du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) fait partie d’une unité d’élite spécialisée dans la gestion de crises. Il lutte contre le grand banditisme, le terrorisme et protège les intérêts vitaux de la France ainsi que ses ressortissants. Cette fiche métier vous donne toutes les informations utiles pour devenir gendarme du GIGN.

Gendarmes du GIGN

Synonymes et métiers associés : membre du GIGN, policier du RAID, sous-officier de gendarmerie, militaire, gendarme d’élite, tireur d’élite, commando, gendarme du PSIG, gendarme du PSPG.
Niveau d’études ou diplômes requis : BAC si vous entrez dans la gendarmerie via le concours externe de Sous-Officier de Gendarmerie (SOG), aucun si vous devenez gendarme adjoint volontaire.
Études en alternance : non, mais la formation de gendarme est rémunérée après réussite du concours.
Salaire débutant : environ 2.145€ net et logement pris en charge pour un SOG débutant.
Statut : militaire, rattaché pour emploi au ministère de l’Intérieur.
Limite d’âge pour le recrutement : entre 24 et 34 ans pour intégrer le GIGN, entre 18 et 35 ans pour devenir SOG.

1. Que fait le Gendarme du GIGN : missions, tâches et fonctions
2. Combien gagne un Gendarme du GIGN : salaire et évolution de carrière
3. Comment devenir Gendarme du GIGN : études, formations, concours
4. Recevoir une documentation gratuite pour réussir le concours de Gendarme

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1. Que fait le Gendarme du GIGN : missions, tâches et fonctions

Présentation du GIGN :

Le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN), a été officiellement créé en 1974. Rattaché à la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale (DGGN), c’est une unité d’élite basée dans la caserne Pasquier de Satory, à Versailles (78). Elle possède également 14 antennes sur tout le territoire français. Sa devise est « s’engager pour la vie » depuis 2014.

Le GIGN est spécialisé dans la gestion de crises. Il intervient dans les domaines du terrorisme, du grand banditisme et de la sécurité des intérêts vitaux de la nation. Les interventions peuvent avoir lieu en France comme à l’étranger, partout là où les intérêts français et les ressortissants sont menacés. C’est une force d’intervention unique en Europe. Ses membres sont prêts à intervenir dans l’urgence, en moins de 30 minutes.

Le GIGN compte un état-major opérationnel (EMOPS) et un état-major d’administration et de soutien. L’EMOPS seconde le GIGN lors de ses missions en envoyant des chiens pour détecter les bombes, en utilisant des techniques de camouflage d’objets, en déjouant les pièges lors d’assauts, en préparant des explosifs et des tirs spéciaux. Cette force possède des cellules dédiées à des missions spécifiques (effraction, groupe cynophile, NRBC, etc.).

L’État-major d’administration et de soutien en revanche, est chargé de la logistique, des ressources humaines, du budget et de l’organisation du GIGN.

Le GIGN est composé d’environ 1.000 hommes et femmes qui ont un statut d’officier ou de sous-officier. Leurs compétences physiques, psychologiques et techniques sont uniques.

Tous les gendarmes du GIGN ont la compétence de tireur d’élite. Ils sont capables de neutraliser une cible sans la tuer jusqu’à 400 mètres. Le GIGN compte aussi des tireurs d’élite longue distance, en mesure de réaliser un tir précis de 1.200 mètres. Tous les membres suivent un entraînement militaire quotidien.

Le GIGN est composé de 3 forces complémentaires :

  • La Force d’Intervention (FI) : elle est spécialisée dans la lutte contre le terrorisme aérien et maritime, ainsi que dans la libération d’otages.
  • La Force de Sécurité et de Protection (FSP) : elle est spécialisée dans la protection d’individus ou de bâtiments menacés.
  • La Force d’Observation et de Recherche (FOR) : cette force remplit, quant à elle, des missions de renseignement, de filature et d’infiltration dans le domaine du terrorisme et du grand banditisme.

La FI et la FSP constituent le bras armé du GIGN. Le GIGN compte également une unité de détachement, le Groupe de Sécurité de la Présidence de la République (GSPR) qui assure, conjointement avec la Police nationale, la protection du président de la République.

Le GIGN possède également son propre centre de formation, son antenne médicale spécialisée, ainsi qu’une division technique à la pointe de la technologie.

1.1 Quotidien d’un gendarme du GIGN

Les missions des gendarmes du GIGN dépendent principalement de la force dont ils font partie et des situations sur lesquelles ils sont appelés à intervenir.

Ils peuvent par exemple prendre part aux missions suivantes :

  • rechercher et transmettre des renseignements,
  • participer à la libération d’otages et à l’évacuation d’un forcené retranché,
  • négocier lors de prises d’otages ou d’enlèvements,
  • évacuer des ressortissants français lorsqu’ils sont menacés dans un autre pays (guerre civile, etc),
  • neutraliser des points vitaux pour l’adversaire,
  • protéger des personnalités ou des hautes autorités de l’État ainsi que des lieux sensibles,
  • arrêter des criminels de guerre, des terroristes et des membres du grand banditisme.

Les missions peuvent durer de quelques heures à plusieurs semaines. Les gendarmes du GIGN doivent avant tout analyser les risques et les prévenir. Ils établissent des objectifs avant d’agir et sécurisent les lieux avant toute intervention. Les équipes du GIGN sont mobiles et organisées. Le GIGN intervient sur terre, en mer et dans les airs.

Entrainement des gendarmes du GIGN :

Lorsqu’ils ne sont pas en intervention, les membres du GIGN suivent un entraînement intensif quotidien. Par exemple, les parachutistes du GIGN effectuent environ 1.500 sauts par an en ouverture automatique, mais aussi 6.000 sauts en chute libre.

Leur entraînement quotidien compte les activités suivantes : sports de combat, exercices d’endurance, escalade en rappel sur la tour du GIGN, course à pied, natation, vélo, musculation, entraînement au tir sur des armes différents. Un gendarme du GIGN utilise environ 100 cartouches par jour.

L’entraînement collectif comporte également des exercices de mise en œuvre des plans antiterroristes tels que PIRATAIR et PIRATMER qui consistent à gérer une prise d’otage dans un avion ou dans un bateau.

Les membres du GIGN doivent être organisés et adapter leur riposte à la menace. Ils doivent faire preuve de force, de rapidité et d’efficacité. Ils sont entraînés pour neutraliser sans tuer.

Même si le GIGN est ouvert aux femmes, la grande majorité de ses membres sont actuellement des hommes.

1.2 Tenue et équipement

Les gendarmes du GIGN possèdent des tenues différentes, adaptées aux spécificités de chaque intervention.

Il existe tout d’abord une combinaison de camouflage, un treillis, qui permet aux tireurs de se fondre dans leur environnement pour ne pas être visibles.

Les membres du GIGN ont également une tenue de camouflage blanche qui leur permet d’intervenir en montagne, sous la neige, sans risque d’être repérés.

Ils possèdent aussi une combinaison d’intervention bleu marine, ainsi qu’un uniforme traditionnel.

L’uniforme traditionnel est orné de galons ainsi que de l’écusson du GIGN. Il s’agit d’une forme circulaire avec un fond bleu qui rappelle que les membres du GIGN sont en capacité d’intervenir en milieu subaquatique. Un parachute est représenté sur l’écusson, en référence aux troupes aéroportées auxquelles ils appartiennent.

Les risques terroristes ont engendré de grands changements au sein du GIGN. Cette deuxième génération de membres du GIGN est symbolisée par les deux étoiles que l’on voit sur l’écusson.

Les gendarmes du GIGN sont lourdement armés et possèdent un équipement spécifique. On peut par exemple citer le bouclier de 22 kilos qui permet aux membres de se protéger des balles et autres projectiles. Leur casque est équipé d’une visière pare-balles qui pèse, quant à elle, plus de 4 kilos. À cela, s’ajoute un gilet pare-balles de 14 kilos.

Lorsqu’ils interviennent en milieu subaquatique (sous l’eau), les gendarmes s’équipent d’un appareil de plongée à circuit fermé d’où ne s’échappe aucune bulle d’air. Cela permet aux membres du GIGN de ne pas se faire repérer.

1.3 Qualités essentielles, compétences nécessaires

Les gendarmes du GIGN font partie d’une élite. Ils doivent avoir de nombreuses qualités et compétences. Un candidat doit tout d’abord être en excellente condition physique. La vue et l’ouïe, vérifiées lors d’examens médicaux, doivent être parfaites.

Un entraînement intensif a lieu chaque jour et il comprend par exemple une marche commando, de la natation avec les pieds et les poings liés, des sauts du haut d’un pont, des missions d’observation dans des lieux saturés de gaz lacrymogène et la pratique de sports de combat comme du jujitsu brésilien, du Mixed Martial Arts (MMA)…

En intervention, les gendarmes du GIGN doivent être performants, infaillibles mais aussi courageux pour affronter les situations les plus risquées sans reculer.

En plus de la force physique, les gendarmes du GIGN doivent avoir une grande force psychologique. Les interventions sont souvent sensibles et dangereuses. Il faut être particulièrement résistant au stress et faire preuve de sang-froid en toute circonstance, car lors de leurs missions, des vies sont souvent en jeu.

Lorsqu’une intervention échoue, il est important de se remettre en question sans se laisser décourager.

L’esprit d’équipe est également essentiel. Lorsqu’ils sont en mission, les membres du GIGN comptent les uns sur les autres et se protègent mutuellement. Ils doivent aussi communiquer de manière efficace pour progresser rapidement et de la manière la plus sûre possible.

Les membres du GIGN doivent être organisés et adapter leur riposte à la menace. Ils doivent faire preuve de force, de rapidité et d’efficacité. Ils sont entraînés pour neutraliser sans tuer.

Il existe une forte cohésion entre les membres qui doivent être discrets sur leur activité qui implique des enjeux stratégiques. Depuis 2011, les gendarmes du GIGN sont d’ailleurs protégés par l’anonymat.

1.4 Débouchés, recrutement, où exercer ce métier

Chaque année, les candidats sont environ 200 à vouloir intégrer le GIGN. Seule une petite vingtaine réussit, car les épreuves de sélection ainsi que la formation sont intenses et particulièrement difficiles.

Depuis quelques années, le GIGN rencontre même des difficultés pour remplacer le départ de ses membres. Le GIGN compte seulement 1.000 hommes pour 100.000 gendarmes au total. C’est donc un métier qui recrute très peu.

Il faut savoir que le métier de gendarme du GIGN est très difficile et exigeant, aussi bien physiquement que psychologiquement. Après quelques années de service dans cette unité, beaucoup de gendarmes préfèrent se reconvertir et travailler le privé.

Avoir exercé le métier de gendarme du GIGN permet d’intégrer n’importe quel service de sécurité. C’est un atout incomparable.

1.5 Horaires, conditions et temps de travail

C’est un métier qui demande beaucoup de temps et d’implication. Les gendarmes du GIGN peuvent être appelés à n’importe quel moment et les interventions peuvent parfois durer de longues heures. C’est aussi un métier dangereux et exigeant, autant dur le plan physique que psychologique.

Appartenir à cette unité d’élite implique une grande rigueur et un dévouement sans faille à son métier. Par la même occasion, il s’agit d’un travail gratifiant et au plus près de l’action.

GIGN en ville
GIGN en intervention. ©Domenjod

2. Combien gagne un Gendarme du GIGN : salaire et évolution de carrière

Un gendarme du GIGN perçoit la même rémunération qu’un autre gendarme. Son salaire dépend donc du corps auquel il appartient, de son grade et de son échelon.

Pour entrer dans le GIGN, il faut avoir au moins le grade de maréchal des logis-chef pour un sous-officier, et celui de lieutenant pour un officier. Au minimum, un membre du GIGN gagne donc 1.935€ brut par mois en tant que SOG, et 2.117€ brut par mois en tant qu’officier de gendarmerie, mais son salaire peut être beaucoup plus important si son grade et ses échelons sont plus élevés.

Par exemple, un major de la gendarmerie nationale (plus haut grade des sous-officiers) au dernier échelon peut espérer percevoir une rémunération de 2.929€ brut par mois.

À noter que les gendarmes du GIGN bénéficient également de primes et d’indemnités qui augmentent énormément leurs salaires de base. À titre d’exemple, un SOG en début de carrière touche environ 2.145€ net par mois, alors que son salaire brut hors prime est de 1.816€ par mois.

Au niveau de son évolution de carrière, le brevet du GIGN, délivré aux candidats à la fin de la formation, ouvre droit à l’avancement au sein du GIGN, au même titre que le diplôme d’Officier de Police Judiciaire (OPJ). Un membre du GIGN peut donc grimper dans les grades et les échelons tout au long de sa carrière, pour gagner plus d’argent et de responsabilités.

Après avoir passé plusieurs années sur le terrain, les membres du GIGN peuvent continuer leur carrière au GIGN, mais à des postes de soutien, ou bien dans d’autres unités de la gendarmerie.

Un ancien membre du GIGN n’aura pas non plus de mal à se reconvertir dans le privé.

3. Comment devenir Gendarme du GIGN : études, formations, concours

Pour devenir gendarme du GIGN, il faut obligatoirement :

  • être âgé de 24 à 34 ans,
  • faire partie de la gendarmerie nationale et avoir le grade de maréchal des logis-chef pour un sous-officier, celui de lieutenant pour un officier.

Si vous avez le niveau BAC, il faut donc commencer par passer le concours externe de sous-officier de gendarmerie. Ceux qui possèdent un niveau BAC +5 au minimum peuvent se présenter au concours d’officier de gendarmerie. Les candidats qui réussissent les concours sont formés pendant 12 mois pour les sous-officiers, et 24 mois pour les officiers.

À noter : si vous n’avez pas de diplôme, vous pouvez entrer dans la gendarmerie en devenant Gendarme Adjoint Volontaire (GAV). Le statut de GAV permet, par la suite, de passer le concours interne de sous-officier.

3.1 Recrutement dans le GIGN

Avant de pouvoir participer aux épreuves de sélection, les gendarmes doivent réussir la visite médicale qui vérifie les aptitudes physiques et psychologiques.

Un candidat doit notamment avoir une vue et une ouïe excellentes, et être apte à la pratique intensive du parachutisme. S’il répond à l’ensemble de ces critères, le candidat peut prendre part aux épreuves de sélection qui conditionnent l’accès à la formation et à l’obtention du brevet GIGN.

Épreuves de sélection du GIGN – durée une semaine :

Il y a une session de recrutement par an, composée d’épreuves individuelles, d’épreuves de groupe, d’entretiens, de questionnaires pour évaluer la personnalité des candidats, des mises en situations, ainsi que des épreuves sportives.

Il ne faut pas seulement réussir les épreuves, mais être le meilleur. Les épreuves ne sont jamais les mêmes et les candidats ne peuvent pas les connaître à l’avance. En voici quelques exemples :

  • tests pour évaluer le niveau connaissance générale du candidat sur la gendarmerie et le GIGN,
  • tests d’agrès, comme par exemple effectuer un maximum de tractions, d’abdominaux et de pompes dans un temps limité,
  • grimper une corde de 6 mètres de haut à la seule force des bras,
  • effectuer une marche commando de presque 10 km en treillis et rangers, avec un sac de 11 kilos sur le dos, ainsi qu’une arme,
  • tirs au FAMAS et au pistolet automatique sur une cible,
  • arriver au bout d’un parcours d’obstacles composé de tyroliennes, de gouttières, d’asperges, de cheminées, d’échelles, de parcours en spéléologie, le tout en étant chronométrée,
  • réaliser des exercices de mémorisation,
  • réussir 25 tractions à la barre,
  • effectuer un parcours dans le noir complet,
  • réussir des exercices de recherche de renseignement,
  • sauter d’un pont haut de plusieurs mètres,
  • réaliser une course d’orientation sans l’aide d’une boussole,
  • tenir dans une pièce emplie de gaz lacrymogène en effectuant des exercices de mémorisation,
  • sauter d’un plongeoir de 10 mètres de haut avant de réaliser un 100 mètres chronométré et un 50 mètres en apnée tout en ayant les pieds et les poings liés,
  • réussir le parcours du combattant,
  • participer à des tests d’agressivité comme de la boxe,
  • exprimer ses motivations aux officiers et aux chefs de groupe du GIGN.

Ceux qui ont réussi la semaine de sélection seront invités à participer au pré-stage, qui dure 8 semaines et qui se déroule entre le moi d’octobre et le mois de décembre. Le pré-stage vise à éprouver les capacités physiques des candidats, mais surtout leur force psychologique et leur ténacité. Ces 8 semaines sont donc particulièrement intenses.

3.2 Formation du GIGN

Après la réussite au pré-stage, les stagiaires entament leur formation de 1 an au Centre National de Formation à l’Intervention Spécialisée (CNFIS). Ils y apprennent les différentes techniques d’intervention, de combat, le parachutisme, et effectuent de nombreux stages (moniteur commando, franchissement opérationnel, tireur d’élite…).

Avant de terminer leur formation, les stagiaires sont affectés dans l’une des trois forces du GIGN (en fonction de leur souhait, et des places disponibles) :

  • la Force d’Intervention (FI),
  • la Force de Sécurité et de Protection (FSP),
  • la Force d’Observation et de Recherche (FOR).

Les gendarmes suivent ensuite une formation complémentaire de 2 mois au sein de leur force d’affectation.

Le jour de la remise de leur brevet, la tradition veut que les stagiaires effectuent une démonstration de leurs acquis, ainsi qu’un tir de confiance à balle réelle, sur un pigeon d’argile fixé sur le gilet pare-balles d’un camarade à 15 mètres de distance.

Une fois en poste, les membres du GIGN suivent régulièrement des formations pour maintenir leur niveau et s’adapter à leurs nouvelles missions.

4. Recevoir une documentation gratuite pour réussir le Concours de Gendarme

Comme nous venons de le voir, la première étape pour devenir un gendarme du GIGN, est de réussir le concours de sous-officier de gendarmerie.

Mais la concurrence entre candidats est importante, et pour atteindre votre objectif, il est indispensable d’être bien préparé.

Vous pouvez préparer le concours tout seul en achetant des livres. Mais pour augmenter vos chances d’être reçu au concours, la meilleure solution est de vous inscrire à une formation préparatoire.

Les Cours Servais proposent une formation à distance pour préparer le concours de sous-officier de gendarmerie. Formation en ligne que vous pouvez suivre de n’importe quel endroit, quand vous le souhaitez, à votre rythme. Idéal si vous habitez une petite ville, si vous travaillez en parallèle, si vous voulez vous reconvertir ou si vous avez du mal à étudier tout seul sans cadre.

C’est une formation de qualité, 90% des élèves sont satisfaits de leur préparation au concours.

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